Le chien des Champs-Elysées

Un lundi après-midi en sortant du travail, je reçois un message, celui de Sixtine.
Un mois auparavant, nous nous sommes rencontrés lors d’une séance plutôt classique, l’envie de me surpasser pour elle d’un côté, la volonté de tester mes limites du sien. 
J’étais plus que déterminé à devenir son esclave.
Les jours puis les semaines passaient, je la servais dès qu’elle me sifflait sans jamais rien attendre en retour. Jusqu’au jour où je reçois ce fameux message de sa part.
Je n’avais aucune idée que cette soirée changerait ma vie à tout jamais ! Elle me convoquait à une soirée aux Champs-Elysées. Étant de nature très timide, je mis quelques minutes à lui répondre car je compris que je ne serais pas seul avec elle lors de cet évènement, mais la curiosité et l’envie d’être présenté comme son esclave l’emporta sur mes inquiétudes. Le dress code était simple à respecter, robe de soirée pour ces dames, costume pour ces messieurs. Sixtine me demanda de passer la prendre chez un de ses amis, en la voyant sortir, mon visage devint rouge à la vue de ses magnifiques jambes soutenues par des divins escarpins noirs à talons aiguilles… Sans parler de sa divine robe noire transparente en tulle… Avec la circulation, trouver la bonne adresse fut plus difficile que prévu… et nous étions très en retard.
Un serviteur nous accueillit, et ferma les portes derrière nous, nous étions les derniers attendus. Il nous amena au vestiaire pour déposer nos affaires. C’est à ce moment précis que le ton de Sixtine changea, elle m’ordonna de me déshabiller sur le champ. Une fois nu, elle sortit une cage de chasteté et exigea que je l’enfile.  N’ayant aucune expérience pour ce genre d’accessoire, je ne parvins pas à la mettre correctement, elle me foudroya du regard, et décida de s’en occuper à ma place.
Le sentiment premier fut très désagréable, le contact de ma peau contre le métal froid fut difficile, elle prit tout d’abord mes testicules afin de les faire traverser dans l’anneau puis ce fut le tour de mon pénis. La cage bien installée, elle verrouilla le tout à l’aide d’une clé, qu’elle attacha autour de son cou pour ne pas les perdre durant la soirée. Le moment de faire notre entrée à la soirée était arrivé, nous étions attendus. L’appartement était gigantesque, je n’avais jamais rien vu d’aussi beau et luxueux de toute ma vie. A ma grande surprise, j’étais la seule personne à être totalement nue et au sol, les autres invités étaient tous vêtus et me regardaient de haut. Un très bon ami de Sixtine était présent, il déshabilla la femme qui l’accompagnait, et commença à la fouetter avec un long fouet, elle hurla comme un porc qu’on égorge. J’ai eu, je dois l’avouer, un réel coup de foudre pour sa sublime soumise. Les hostilités commençaient et toutes les femmes se dénudaient pour finir par se retrouver dans la même position que moi.  Je compris que nous étions le seul duo Maîtresse/soumis.
Tandis que j’essayais de contempler les magnifiques tapisseries qui décoraient les murs, l’immense chandelier en cristal qui illuminait l’espace, les miroirs dorés ainsi que les meubles en marbre, Sixtine me demanda de me lever et de mettre les mains derrière la tête afin que je remplace la sublime soumise. Chacun leur tour, son ami et Sixtine essayèrent tous deux de me frôler le plus possible avec le fouet, jusqu’au moment où je fus touché par Monsieur. J’ai eu mal très mal et les larmes commencèrent à couler, il était le premier à me faire pleurer de douleur.
Je restais sage, debout et obéissant et à peine mes larmes étaient séchées qu’une soumise passa entre mes jambes comme on passe sous un pont, puis une deuxième puis une troisième. 
Je pense qu’elles appartenaient toutes à son ami, qui faisait mine de ne pas les connaître. Elles étaient toutes magnifiques, des corps de déesse, nues ou simplement vêtues de porte-jarretelle et de talons hauts… Sixtine et son ami Maître ordonnèrent sans que je ne le sache aux soumises de me faire bander pour que je souffre dans ma cage. Ils les avaient mises au courant que j’étais puceau à 22 ans, et qu’elles pourraient toutes être les premières si elles le souhaitaient. Elles vinrent se toucher, se lécher, s’embrasser et se caresser jambes écartées devant moi et il y en eu même une qui se branla sur ma jambe jusqu’à la jouissance. Mais Sixtine m’avait dressé à ne jamais bander, ce n’est pas ce qu’elle souhaitait pour son esclave, alors j’obéis à ses règles. Puis quand le défilé fut terminé, Sixtine s’installa dans un fauteuil, un verre de champagne à la main et me siffla pour que je vienne lui servir de repose pieds.
Pendant qu’elle buvait, je pus observer ce qui se passait autour de moi, plusieurs couples s’embrassaient, d’autres pratiquaient du bondage, fouet ou toute sorte d’insertion dans divers orifices. Et d’un coup, elle commença à me fesser, d’abord ma fesse droite, puis la gauche, puis les deux en même temps ! Une fois mes fesses brulantes, elle décida de sortir son outil de flagellation favori… J’eu encore très mal, je ne suis pas masochiste mais son plaisir passe avant tout, les larmes se mettaient à couler à nouveau le long de mes joues… Elle ne s’arrêta pas jusqu’à ce que je vis du sang couler par terre. Ma récompense fût d’avoir le privilège de masser ses jambes et ses pieds pendant ¾ d’heure. J’avais les bras en feux mais j’étais tellement heureux de pouvoir la caresser aussi longuement que j’en oubliais toutes mes peines…
En entendant le mot stop de sa bouche, mes bras tombèrent d’un coup, elle me laissa reprendre mes esprits un court instant avant de me demander de traverser tout l’appartement pour lui chercher une bouteille d’eau, à quatre pattes et toujours nu comme un ver. J’étais fier de sentir les yeux des convives sur mes marques faites par ma Dominatrice et de marcher en bon chien jusqu’à la cuisine pour aller chercher ce qu’elle exige. Je revis le serviteur qui nous avait accueilli, il s’occupait du bar, il me félicita d’avoir de si belles marques et il m’offrit un jus d’orange.
A mon retour, Sixtine n’était plus là, la sublime soumise pour qui j’avais eu un coup de foudre était à genoux devant le fauteuil. Elle m’ordonna de me mettre à genoux également et de tendre mes mains, avant de commencer à me lécher les doigts délicatement un par un… Je commençais à me sentir un peu à l’étroit dans ma cage…Le Maître revint et me demanda de me mettre à quatre pattes en face de la sublime soumise. Elle se retourna, mon nez était à 3 cm de ses fesses. Monsieur commença à la fouetter avec hardeur, j’étais si proche que j’avais la sensation que chaque impact sur ses fesses allait attérir directement sur ma joue… C’était impressionnant. Sixtine revint s’assoir dans son fauteuil et fut ravie de voir qu’en son absence je restais obéissant aux personnes qu’elle désirait en toute circonstance. Une fois les fesses bien rouges, la sublime soumise se retourna et me regarda dans les yeux, j’étais incapable de soutenir son regard plus de 3 secondes, personne ne m’avait jamais regardé comme ça…
La soirée se termina sur une orgie générale, Sixtine observait tout ce qui se passait, assise sur mon dos. Elle me tirait parfois les cheveux pour lever ma tête en m’indiquant où je devais regarder. Elle me fit souvent admirer la sublime soumise et son Maître… Elle ne criait plus à présent de douleur, mais de plaisir… A 4h du matin, Sixtine décida qu’elle devait rentrer dormir, elle remercia nos hôtes et son cher ami, et me fit embrasser les pieds de tout le monde.
Cette soirée fit naître en moi une dévotion animale, qui n’a fait que se renforcer au fil des années. Je suis esclave depuis 6 ans à présent et ne me refuserais jamais à elle.


Votre esclave Pumba