A l’issue de notre première rencontre, ma Maîtresse, bien que n’ayant pas évoqué explicitement le sujet, a souhaité évaluer mes capacités de mon versant SM et m’a fortement suggéré de prendre contact rapidement avec sa consœur et amie Sixtine. J’ai attendu la convocation à son hôtel.
A mon arrivée j’ai découvert une belle jeune femme mais dès que j’ai croisé son regard j’ai compris que l’apparence de la douce et gracieuse personne dissimulait une prédatrice sans pitié. Quelques instants plus tard et une paire de gifles bien appuyée en guise d’introduction, j’étais agenouillé devant Elle, nu, mes fesses offertes à son regard inquisiteur. Celles-ci n’ayant sans doute ni la couleur ni la température souhaitée par la Maitresse des lieux, Elle commença pour y remédier par m’administrer en guise d’entrée en matière une série de claques cinglantes suivie, à l’aide de ses ongles acérés, d’un labourage méthodique et appuyé de mes reins jusqu’aux cuisses. D’abord vive après les impacts la douleur qui se fit plus lancinante et rayonnante éveilla la flamme de l’excitation en moi. S’en suivi l’exploration méthodique et complète des parties les plus sensibles des chairs à l’aide de la roue de Wartenberg. Chaque recoin fut ausculté avec la plus grande attention, mes réactions au passage de l’instrument étaient savamment analysées par Sixtine et donnaient en fonction de leur intensité à plusieurs passages plus appuyés sur les parties les plus sensibles afin d’éprouver ma résistance, me pousser à gémir et demander grâce. Ainsi l’instrument de torture manié par les mains expertes de Sixtine s’attarda à plusieurs reprises sur le sillon de mes fesses, mon anus et mon sexe.
Après avoir soigneusement préparé les points les plus sensibles à l’aide la roulette, Sixtine s’est saisie d’une cravache et administra ses coups avec une précision et dosage subtil afin de sublimer la douleur. La souffrance était intense mais distillée de façon experte : j’entrais doucement dans le subspace. J’ai laissé échapper quelques gémissements où se mêlaient plaisir et souffrance sans demander grâce car il me tenait à cœur de faire honneur à ma Maîtresse.
Sixtine m’accorda un léger répit de quelques secondes pour me laisser flotter dans cet état de transe puis d’une voix douce me demanda de placer face à elle toujours à genoux. A peine retourné je reçu à nouveau une violente paire de gifles qui eut l’effet de me faire atterrir. J’eus à peine le temps d’entrevoir son gracieux visage et de croiser son regard glacial où brillait une lueur de sadisme que je reçus en pleine face son crachat. Elle m’intima alors l’ordre d’ouvrir en grand la bouche pour y déposer sans hésitation et avec précision la cendre de sa cigarette et j’ai dû avaler sans rechigner.
A plusieurs reprises ma bouche lui servit de cendrier ou de crachoir. Commença alors une longue et savante session de torture des seins qui eut pour effet de porter l’excitation à son comble. Pour exprimer sa satisfaction Sixtine m’a alors accordé le privilège de masser et cajoler longuement ses pieds de princesse. Au moment de partir, Sixtine m’a simplement dit : « je comprends pourquoi ma consœur t’a adressé à moi ». J’étais aux anges et ai pensé sans oser lui dire : « moi aussi ». Sixtine malgré son jeune âge est experte en la matière, rares sont les Dominatrices qui ont le savoir-faire de vous emmener dans le subspace lors de la première rencontre. Je la remercie humblement pour ce merveilleux voyage SM dont elle m’a gratifié, j’ai été ravi d’avoir fait sa connaissance grâce à ma Maîtresse que je remercie et espère avoir été à la hauteur de ses attentes.
Soumis E, prêté par sa Maîtresse à Sixtine